A une époque où les agressions se multiplient, les Etats se voient obligés de redoubler de vigilance. Des secteurs non publics ont vu le jour dans le domaine de la sécurité sociale pour défendre la cause des innocents. Au nom de cette défense, sont-ils d’office autorisés à utiliser toutes sortes d’armes comme les forces de l’armée ?

Sécurité privée : toutes les armes sont-elles permises ?

Des agents civils investis dans les activités de surveillances, comme dans la société de sécurité SARL CENTIUM SECURITE, s’exposent au quotidien à tous risques. Ils sont plus que fragiles devant l’arrogance des hommes sans foi ni loi qui s’en prennent à leurs semblables ou à des structures pour les dépouiller de leurs biens. Une telle condition demande que chaque service de conciergerie du secteur privé soit muni des moyens de défense conséquents.

Cependant, ce n’est pas toutes les catégories d’armes qui sont permises aux agents privés. Selon la réglementation sur le port d’armes, il est prévu pour eux une possibilité limitée aux armes de la catégorie D.

La catégorie D : l’armement des agents de la sécurité privée 

Que cela soit une bonne ou mauvaise idée, les outils de défense de la catégorie D ne sont pas permis à toutes personnes. Par contre, les personnes qui sont censées sécuriser un groupe de personnes, un bien en mouvement, un bâtiment ou une institution de la place, en ont besoin. Ainsi, tout agent faisant partie d’une société de sécurité privée à la liberté de porter les armes de défenses suivantes.

Les poignards

C’est une arme blanche ayant une manche en caoutchouc ou en bois ou en métal. Il est aussi synonyme de dague, de couteau ou de lame. Les agents de sécurité s’en servent dans les combats rapprochés avec un ou des assaillants. La condition d’utilisation est qu’il n’y ait plus aucun moyen de neutraliser le malfrat à distance.

Les bombes aérosols et lacrymogènes

Les bombes aérosols et les bombes lacrymogènes constituent des outils de sécurité facile d’emploi. Elles sont de la catégorie des armes explosives du fait qu’elles fonctionnent par une légère détonation. Bien que explosives, les bombes aérosols et lacrymogènes n’ont pas une propriété dévastatrice à l’instar des armes à destruction massive. En effet, elles sont voulues et conçues uniquement pour mettre un individu dans l’incapacité d’agression. Comment cela fonctionne-t-il ?

Lorsque la bombe aérosol est lancée et s’explose, elle émet des gaz qui brûlent les yeux de la personne atteinte. Lorsqu’il s’agit de la bombe lacrymogène, c’est un gel neutralisant qui se répand dans le périmètre. Il est clair maintenant que ces bombes sont des moyens d’agir à distance. Mais il existe une sorte de lacrymogène pour se défendre dans un combat au corps à corps. Citons à ce titre le spray lacrymogène.

Les pistolets à solutions irritantes

Ils fonctionnent comme des bombes lacrymogènes et sans grandes détonations. Au lieu d’une balle, ce genre de pistolet libère plutôt une solution incapacitante. Le projectile du liquide irritant retrouve la cible visée, si bien visée, et le brûle irrésistiblement, de sorte que la cible recule. Lorsqu’elle perd ainsi le contrôle, il est important de s’emparer de lui avant qu’elle ne reprenne force et revienne à la charge.

Les matraques en bois

Les matraques sont des outils de sécurité pour maîtriser une personne rebelle. Ils peuvent servir néanmoins dans de grands combats corps à corps, pour par exemple bloquer des coups de glaive ou de bâton. Pour cela, les bois de matraques sont de qualité très solide et résistante. De couleur noir, ils disposent d’une manche perpendiculaire à la partie attaque.

Les matraques électriques

Ils ont la forme d’un bâton relativement petit mais assez efficace dans la défense. La spécificité des matraques électriques est qu’ils détiennent un pouvoir électro-choque qui permet de court-circuiter le système neuronal de l’adversaire. Il perd nécessairement le contrôle et lâche prise sans s’en rendre compte.

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